Plusieurs femmes leaders luttent pour le bien être des familles et l’éradication des VBG et VFF.
Au nombre de ces dernières figure Ariane AHYITE ASSAVEDO, présidente de l’ONG « I AM » , (« JE SUIS » en français) qui œuvre pour l’épanouissement des femmes et des filles dans notre société.
Le journal droits humains infos vous fait découvrir cette amazone.
Mariée et mère de trois (03) enfants, le droit de la famille constitue l’une de ses passions en ce sens que la justice dans les familles , indépendamment de l’esprit de la compromission et du respect à cultiver, se doit de devenir une réalité pour le bonheur de chaque membre de la famille et de toute la famille. C’est d’ailleurs ce qui a soutendu son engagement à devenir professeure des cours d’Education à l’Affectivité dans certains collèges confessionnels de Cotonou.
« Le cœur d’une mère s’étend à toute l’étendue du territoire de la Nation qui l’a vue naître » dixit Mme Ariane AHYITE ASSAVEDO. Aussi, laisse t-elle parler ce cœur au contact de ses élèves pour leur apporter l’essentiel vital du moment qui leur manque pour leur permettre de mieux canaliser leurs affects en effervescence en vue d’atteindre un avenir radieux. L’école étant le prolongement.
Dans cette même vaine , elle œuvre d’une part, pour l’amélioration des conditions de vie des filles/femmes à la tête l’ONG I AM ( JE SUIS) qu’elle préside aussi pour l’autonomisation intégrale des filles, la lutte contre les VBG, la protection de l’enfance malheureuse (Orphelin.e.s et autres vulnérables).
Elle déploie également au sein de l’ONG un programme de volontariat et d’échanges des jeunes pour le développement et le renforcement de leur personnalité, la détection de leurs talents, l’acquisition et le déploiement des compétences psychosociales.
En ce qui concerne les filles/femmes, elle a à son actif entre autres, diverses campagnes de sensibilisation et de formation à l’entrepreneuriat des filles et mères, pour une meilleure connaissance de leur corps et à la planification naturelle, à la maternité et paternité responsable, octobre rose pour un Bénin rose ( lutte contre le cancer du sein)…etc.
Ariane AHYITE ASSAVEDO est diplômée d’une maîtrise en Sociologie, d’un DEA (Diplôme d’Etudes Approfondies) en Droit de la Personne Humaine et de la Démocratie de la Chaire UNESCO, et, d’un Master en Sciences du Mariage et de la Famille à l’Institut Pontifical et Théologique Jean-Paul 2 de Cotonou.
En tant que Juriste de la famille et ardente défenseure des droits de la femme/fille (en vue de leur autonomisation intégrale) et de l’enfance malheureuse, elle s’est spécialisée sur les questions de genre et de la famille.
Elle est à ce titre, promotrice du Programme l’Ecole des Filles où elle œuvre à armer les filles de compétences psychosociales en vue d’être compétitives gage de leur plein épanouissement.
En tant que Thérapeute Conjugale et Familiale et, Conseillère de Vie au cabinet AbbA ( Bien-être familial), elle fait de l’accompagnement des filles-mères, des couples et des familles en difficulté.
C’est en tant que conférencière internationale, qu’elle a travaillé aux côtés de la toute Première Présidente de l’Institut National de la Femme (INF) Mme Claudine Afiavi PRUDENCIO, Présidente du Parti politique UDBN et Présidente de la fondation OMONLARA PRUDENCIO.
Enfin, avec cette passion pour la cause féminine et du juste droit pour tou.te.s, elle s’est finalement engagée en politique pour défendre les couleurs de sa terre patrie, la Nation Béninoise forte des principes que sont valeurs, éthique, intégrité et équité pour l’union, la cohésion sociale et la paix.
Ariane AHYITE a participé aux élections législatives du 08 janvier 2023 en tant que tête de lice dans la quinzième circonscription électorale comptant les 6 premiers Arrondissements de Cotonou. Sous la bannière de l’UDBN de Mme Claudine Afiavi PRUDENCIO.
Elle est persuadée que les actions conjuguées du peuple béninois et du gouvernement du président PATRICE ATHANASE GUILLAUME sont le socle et le levier par lesquels la cohésion sociale et l’égalité des droits sauront être respectées au Bénin.
Gatien ELEGBEDE