Trouver la meilleure stratégie pour procéder au choix des filles devant faire partir du Conseil Consultatif des Filles et Alliés du projet ‘Plan pour les filles’ en tenant compte du contexte COVID. C’est le but de l’atelier organisé ce vendredi 03 Juillet à Dassa-Zoumè avec les partenaires communaux et des affaires sociales de la zone d’intervention du projet dans le département des Collines.
Ainsi, à l’initiative de l’organisation de promotion et de défense des droits de la fille, Plan International Bénin, les acteurs réfléchissent pour procéder à la désignation des membres du Conseil consultatif des filles et alliées du projet « Plan pour les filles ».
A en croire les responsables de l’organisation, « la mise en place du conseil consultatif des filles et Alliés permettra d’influencer les décideurs à tous les niveaux pour la prise en compte de leurs besoins dans les décisions politiques et pour planter l’égalité des filles ».
Plan pour les Filles est un projet novateur et multi-acteurs fondé sur la théorie de changement mis en oeuvre en faveur des filles et des femmes des communes de Bantè, Dassa-Zoumè, Glazoué et Savalou dans le département des Collines et a pour but d’aider les filles à renforcer leurs compétences en leadership, à réaliser leur potentiel et à apporter des changements dans leurs communautés et à améliorer leurs vies.
Il bénéficie d’un financement de 3.573.273.937 F Cfa des affaires mondiales Canada et de Plan Canada pour une durée de 5 ans afin d’améliorer les droits à la santé, l’éducation, la protection et l’autonomisation économique de 60.197 personnes dont 30.955 filles, 10.033 garçons de 10 à 24 ans, de 12.000 femmes et 7.909 hommes adultes dans les communes bénéficiaires.
A travers ce projet, Plan International Bénin se donne les moyens pour la réalisation de l’ambition de son plan stratégique pays, celui de voir « les filles et les jeunes femmes vulnérables du Bénin s’épanouir dans un environnement d’égalité et faisant des choix informés en ce qui concerne leur sexualité et leur protection contre les grossesses précoces ».
Aclan OMIOTAN
Je vois et continue de croire que les personnes handicapées Handicapées sont toujours mises de côté. Comment dans ces ateliers personne ne parle celles alors qu’elles sont les plus vulnérables comment voulez vous que ces filles Handicapées défendent leurs droit sexuelle ou deviennent leaders ? La méconnaissance du droit de la fille Handicapée n’est pas la même que pour celle non Handicapée
Félicitation à notre partenaire de tous les jours pour cette meilleure initiative surtout quand j’attends que ce projet est destiné aux filles vulnérables, je me dis une fois encore un grand soulagement pour mes soeurs. Et ma structure est prête si possible à accompagner ce projet